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Hélicoptère de base :

J’ai choisi de partir d’un hélicoptère bi-rotor. Un Lama V3, totalement dépouillé de ses décorations.

Stabilité : les hélico bi-rotors sont parmi les plus stables qui existent. La stabilité intrinsèque permet de simplifier grandement l'asservissement.

Envergure : à poids équivalent, un bi-rotor est sensiblement plus petit qu’un mono-rotor, et surtout beaucoup plus petit qu’un quadri-rotor courrament utilisé. Pour un drone d’intérieur, la taille est un élément très important.


Moteurs :

Moteurs « extrem » beaucoup plus puissants que les moteurs d’origine. L’inconvénient majeur, c’est qu’ils génèrent un champ magnétique énorme, qui perturbe beaucoup le compas.

Contrôleur moteur:

3 in one de e-sky, initialement prévu pour l’hélico « big lama ». Il est compatible avec des batteries 2s et 3s. J’ai choisi d’avoir un contrôleur moteur déporté, et non intégré à mon électronique.

L’électronique "faite maison" sort des signaux servos. Ce choix a été fait pour pouvoir un jour, si besoin, changer de moteur et passer à des brushless.

Batterie :

Je suis passé des batteries d’origine 2s à des batteries 3s, et de capacité identique (800mAh). Les moteurs et l’électronique acceptent parfaitement cette élévation de tension. La tension plus élevée permet à la fois d’avoir plus de puissance, mais aussi d’avoir une vitesse de rotation des hélices plus élevée. Je gagne en puissance et en autonomie. Le gain de puissance facilite l’asservissement, puisque la réponse de la commande des gaz sature plus tard : la zone linéaire est plus large.

Pales :


J’avais testé des pales « Extrem », qui apportent un gain de poussée important, du fait de leur pas plus prononcé. Mais elles manquent énormément de rigidité, et dans les grosses accélérations, ce manque de rigidité engendre des entrechoquements de pales entre les 2 rotors ! Dans ces conditions, c’est le crash quasi assuré ! J’ai donc conservé les pales d’origine. Il faut prévoir un certain nombre de pales de rechanges, car elles se brisent facilement.

Train d’atterrissage :

Le train d’atterrissage est une extension du train d’origine. L’extension a été réalisée avec des tiges de carbone. Les tiges sont ligaturées entre elles avec du fil à coudre, le tout collé à la cyanoacrylate. C’est une méthode d’assemblage très utilisée en modélisme, et qui donne des résultats très solides. J’ai intégré à ce train d’atterrissage un support pour batterie, vu que l’emplacement d’origine ne convenait plus.
Leon | 28/08/2011
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